dimanche, 07 janvier 2007
Tout dans le coffre
[...]
En remontant dans la Fuego, Estelle m’a confié qu’elle adorait ma bagnole.
Bon.
Une déclaration d’amour comme on en fait plus.
Après, elle m’a embrassé.
Tout roule. En ce bas monde.
Ensuite, elle m’a dit que sa chambre d’étudiante était toute petite, mais que, pour les deux ou trois jours avant que sa co-locataire revienne, ça irait.
Il faisait jour, mais il y avait des étoiles partout.
C’est là que j’ai repensé à la mémé.
Les étoiles se sont éteintes. Il fallait terminer ma mission, téléphoner, s’en occuper.
Bordel,
Il y a toujours une merde quand tout va bien.
12:40 Publié dans Un jour, un texte | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : livre, littérature, polar, pouy | | | Facebook
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