mardi, 12 juin 2007
Premièrement : les mots verts
[...] Il y avait les mots verts, encore trop acides pour mettre leur jus en bouteille, pas assez mûrs pour tomber au creux de mon oreille. Ceux-là même qui s'échappent alor sque le sommeil nous rattrape. Ces mots couleur des prés qu'on peut dire quand on est encore loin, herbe folle pas encore déracinée d'un amour déjà calciné. [...]
10:45 Publié dans de mes nouvelles | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : littérature, nouvelle, absolu | | | Facebook
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